Destins mêlés des soldats et des animaux, des compagnons d’armes sur le front d’Orient
A l’occasion des commémoration de la fin de la guerre 14/18, AERHO a participé aux devoir de mémoire avec entre autres une conférence à la Mairie du V° de Paris:
« Destins mêlés des soldats et des animaux, des compagnons d’armes sur le front d’Orient »
Durant la Grande Guerre, plusieurs millions d’animaux ont été des auxiliaires précieux de toutes les armées. Selon les espèces, ils ont transporté soldats et canons, transmis les messages, sauvé des blessés, ont représenté un lien affectif fort pour les/certains soldats. Ils ont partagé le quotidien des soldats, les privations, les souffrances et souvent leur destin funeste. Et pourtant, depuis, la place des bêtes est minorée et même effacée de la Mémoire. Aujourd’hui, que de tensions autour de la question de l’hommage à rendre à ces « poilus à quatre pattes ».
Sur le front d’Orient, les soldats sont eux-mêmes « les oubliés » de cette guerre. Quels rôles ont joué les animaux ? Quelles traces demeurent de leurs contributions à l’effort de guerre ?
Les témoignages de soldats et d’écrivains de l’époque, les photos et cartes postales, les comptes-rendus militaires trouvés permettent de mettre en lumière l'importance des animaux dans ce conflit :
Leur utilisation spécifique sur ce front, comparée au front occidental
Leurs souffrances et sacrifices subis conjointement avec les hommes
Leurs relations avec les soldats
La reconnaissance de la société de l’époque envers ces animaux ayant servi aux côtés des soldats, puis l’effacement de leur engagement
Vous prouvez retrouver les vidéos de cette intervention sur notre site et sur les liens suivants :
Extrait court sur les pigeons :
Extrait long sur les pigeons :
Extrait : Les bœufs lors de la guerre dans les Balkans :
Version complète de l’intervention d’AERHO :